En direct de là où je suis. Un jour, une photo depuis mon retour de Santo Domingo

lundi 22 septembre 2008

Les feuilles mortes se ramassent à la pelle

Ce qui est bien avec l’automne, c’est que c’est prévisible. Pas comme les catastrophes naturelles ou les accidents d’avion. On est obligé de faire des calculs statistiques compliqués pour finir par tomber à coté, surtout pour les accidents d’avions, ou ne rien voir du tout. Avec l’automne nous viennent les péripéties habituelles de la rentrée et surtout, le froid. C’est un lieu commun de dire ça mais quand on a vécu 8 mois au dessus de 25°C, c’est fondamental le froid !

C’est peut-être ça qui gèle cette plume que je ne ressors qu’une fois par quinzaine pour ne publier qu’un article sur deux… Ce qui laisse peu de place à la surprise quotidienne, ça ne laisse même pas infuser les colères et les frustrations. Et puis, que faire partager de mes voyages inter banlieue en scooter ou de mes week-ends dans les plâtres et la plomberie. Il y a eu source d’inspiration plus productive. J’ai donc décidé de clore ce blog le temps que je resterai en France. Et je crois que c’est parti pour durer un peu. Si j’en rouvre un, ce sera sur un sujet précis, enfin, au moins avec une argument du type maladie grave, expérience professionnelle bizarre ou voyage lointain comme celui que je clos aujourd’hui. En tous cas, je laisserai le lien sur celui-ci, j’ai pris tellement de plaisir à le faire…

A bientôt,

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