Je reprend un thème qui m'est cher en publiant le lien vers cette bande annonce :
http://www.premiere.fr/Bandes-annonces/Video/Nos-enfants-nous-accuseront
pour faire suite à l'excellent livre de DSS : "Anti cancer".
Il faut manger Bio, faire le tri dans les labels plus ou moins arnaque et trouver des sources d'approvisionnement à des tarifs un peu moins astronomiques que ceux pratiqués par mon super marché préféré. Pour exemple, le jambon normal à 14,60€ le kilo se transforme en jambon de luxe 36,90€ le kilo quand il est labellisé bio. Un rapport de 1 à 3. Ce rapport tombe de 1 à 1,5 quand on attaque la crèmerie, beurre et œufs. Ce qui semble être le plus petit des facteurs multiplicateurs des labels bio. C'est aujourd'hui le prix à payer pour éviter que des produits plus que douteux n'entrent dans la constitution de notre alimentation. (cf. l'affaire des huiles industrielles recyclées alimentaires d'il y a peu).
Les produits bios sont donc des produits chers. Les pauvres peuvent continuer à manger de la m..., les riches à survivre.
Première réflexion, le phénomène que nous connaissons à l'échelle géo économique mondiale se rapporte maintenant à l'échelle économique locale. Les disparités économiques font que sur les côtes de l'inde on dépiaute des cargos plein de cochonneries. Ces mêmes cargos ont servis à transporter les cochonneries des pays émergents vers les pays industrialisés. On retrouve ces différences dans nos régions. Les habitants des régions agricoles sont en contact beaucoup plus fréquent avec les pesticides et les engrais. Cochonneries fabriquées dans les agglomérations industrielles (voir la vallée du Rhône ou la basse vallée de la Seine).
Deuxième réflexion, la vie dans les campagnes occidentales n'est pas vraiment la vie saine que l'on imagine. La proximité des pesticides en fait un cadre environnemental dangereux. Vive la vie en ville, nous n'avons que les pollutions dues aux hydrocarbures pour nous empoisonner.
Troisième réflexion, sans impulsion politique, genre bio taxe comme l'éco taxe, pas de résultat possible. Pour un rééquilibrage de l'offre, il faut l'orienter. Ça fonctionne pour l'automobile, il faudra juste passer outre les lobbies de la chimie, de l'agriculture et de l'agro alimentaire pour que ça fonctionne. Ce n'est pas une mince affaire.
Bon appétit et à demain peut-être...
En direct de là où je suis. Un jour, une photo depuis mon retour de Santo Domingo
dimanche 23 novembre 2008
samedi 22 novembre 2008
jeudi 20 novembre 2008
Mon lapin...
Je ne sais pas vous, mais moi quand j’ai vu sur les bus cette campagne d’affichage contre la consommation de viande chevaline, je me suis dit que je me ferais bien un steak de cheval. C’est une viande fine, dépourvue de parasite, même si elle n’est pas dépourvue de produits chimiques, surtout quand le cheval a fait de la course.
Une amie aide vétérinaire en Normandie, du coté de Deauville, m’a raconté les chevaux après les courses : sang dans les poumons, bave d’EPO, muscles et cœur au bord de la rupture. L’alternative proposée est donc la torture pour les courses du PMU ou la boucherie. Les deux alternatives n’étant, en générale, pas des alternatives mais des suites logiques dans la vie du canasson. Le cheval en liberté, galopant dans les étangs de Camargue, c’est une chouette image mais ce n’est pas celui que l’on mange. De la même manière, il n’y a jamais autant de taureau à manger dans les restaurants de Séville que pendant la période des corridas.
Dernièrement, je suis tombé avec bonheur sur la nouvelle campagne de la fondation BB sur les bébés phoques et les lapins, des affiches en 3 mètres par 4 sur les ‘dadas’ de BB, en me souvenant du lapin à la moutarde de samedi dernier. C’était bon. Je vous passe la recette vite fait : couper le lapin en morceau après l’avoir dépecé, réserver la peau pour une écharpe ou un manteau, émincer un oignon, faire revenir une demi livre de poitrine fumée coupée en dés avec l’oignon dans du beurre. Quand l’oignon est transparent, ajouter le lapin abondamment tartiner de moutarde à l’ancienne pour le faire dorer. Baisser le feu et mouiller avec un petit vin blanc sec. Laisser mijoter une vingtaine de minute en veillant à ce que ce ne soit jamais sec. Au moment de servir, ajouter une bonne louche de crème fraiche. Accompagner de tagliatelles fraiches. C’est drôlement bon ! Je me demande si les Inuits cuisinent le phoque de la même manière ?
A demain peut-être…
Une amie aide vétérinaire en Normandie, du coté de Deauville, m’a raconté les chevaux après les courses : sang dans les poumons, bave d’EPO, muscles et cœur au bord de la rupture. L’alternative proposée est donc la torture pour les courses du PMU ou la boucherie. Les deux alternatives n’étant, en générale, pas des alternatives mais des suites logiques dans la vie du canasson. Le cheval en liberté, galopant dans les étangs de Camargue, c’est une chouette image mais ce n’est pas celui que l’on mange. De la même manière, il n’y a jamais autant de taureau à manger dans les restaurants de Séville que pendant la période des corridas.
Dernièrement, je suis tombé avec bonheur sur la nouvelle campagne de la fondation BB sur les bébés phoques et les lapins, des affiches en 3 mètres par 4 sur les ‘dadas’ de BB, en me souvenant du lapin à la moutarde de samedi dernier. C’était bon. Je vous passe la recette vite fait : couper le lapin en morceau après l’avoir dépecé, réserver la peau pour une écharpe ou un manteau, émincer un oignon, faire revenir une demi livre de poitrine fumée coupée en dés avec l’oignon dans du beurre. Quand l’oignon est transparent, ajouter le lapin abondamment tartiner de moutarde à l’ancienne pour le faire dorer. Baisser le feu et mouiller avec un petit vin blanc sec. Laisser mijoter une vingtaine de minute en veillant à ce que ce ne soit jamais sec. Au moment de servir, ajouter une bonne louche de crème fraiche. Accompagner de tagliatelles fraiches. C’est drôlement bon ! Je me demande si les Inuits cuisinent le phoque de la même manière ?
A demain peut-être…
samedi 15 novembre 2008
La toussaints au carré
jeudi 13 novembre 2008
Salsa leçon n°2
'Fizz était au bord du lit et je respirais son amour et je goûtais son amour et j'entendais son amour et mon amour se tendais vers son amour et j'arrivais là où était ma place, là où je voulais vivre et mourir et le monde était un bout de peau et le monde était deux bouts de peau et le monde n'était que bouts de peau et le monde était liquide et le monde était serré et le monde était un fourneau et le monde se mouvait et le monde glissait et le monde explosait et le monde finissait et le monde finissait et le monde cessa d'exister'
Tarun J Tejpal , 'Loin de Chandigarh'
Pour la seconde leçon de Salsa, Il faut un peu de Barcelo Imperial : écraser un citron vert coupé en quatre au fond d'un verre à moutarde, saupoudrer de deux cuillères à soupe de sucre de canne roux, finir de remplir le verre avec de la glace pilée et boucher les trous avec le Rhum. Remuer avec la petit cuillère avant de boire la moitié et de cliquer sur ce lien :
http://fr.youtube.com/watch?v=kaJzm4_ktDU&feature=related
Mes pieds n'en peuvent plus.
A demain peut-être...
mercredi 12 novembre 2008
Salsa leçon n°1
Déboucher la bouteille de Barcelo imperial ramener fraichement, verser 10cl dans un grand grand verre, ajouter de la glace jusqu'en haut du verre et boucher les trous avec de la limonade, boire la moitié puis cliquer sur le lien ci-dessous :
http://www.youtube.com/watch?v=OC7AQ9HqmMI
Si vos pieds ne bougent pas au bout de 20 secondes, c'est que le rhum est passé ou que vous n'avez pas enlevé les écouteurs du iPod qui vous diffuse Sum41 à donf dans les oreilles...
A demain peut-être.
http://www.youtube.com/watch?v=OC7AQ9HqmMI
Si vos pieds ne bougent pas au bout de 20 secondes, c'est que le rhum est passé ou que vous n'avez pas enlevé les écouteurs du iPod qui vous diffuse Sum41 à donf dans les oreilles...
A demain peut-être.
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