En direct de là où je suis. Un jour, une photo depuis mon retour de Santo Domingo
mercredi 9 avril 2008
Au fait, tu mange quoi ?
Ceux qui me connaissent un peu savent que je porte un intérêt considérable à ce que je mange. Comme je déteste me faire à manger tout seul, je vais au restaurant presque à tous les repas. Il m'arrive aussi de prendre quelques fruits, un avocat mur et un jus de citron en guise de dîner mais ça n'intéresse personne.
Bref, je vais tenter de répondre la quatrième question fondamentale de l'existence selon Pierre Dac (paix à son âme) : "qu'est-ce qu'on mange ce soir ?"
La République Dominicaine est fortement influencée par les états unis d'Amérique. Pour le style de vie, c'est plutôt le coté bling bling que le coté new age qui a été retenu: 4x4 de 20 mètres cubes, pistolet à la ceinture, hamburger et frites. Je vais donc passer rapidement sur cet aspect déplorable de la gastronomie dominicaine.
Vient ensuite la référence mexicaine avec les Tacos, les Bujitos, le Chili et le Guacamol. On se rapproche de chose plus mangeable mais ce n'est pas encore top.
Le plat local se nomme Mofongo. C'est une compression sèche et pas très agréable de bananes plantains avec de l'ail qui se mange avec des Yuccas frits. C'est pas top non plus, c'est même moins bien que la référence mexicaine.
Puis, il y a les fruits locaux, dont j'ai déjà évoqué la divine existence, le mérou qui a la bonne idée de vivre dans les eaux chaudes de la mer des caraïbes, du bœuf local, du cochon, des légumes, des bananes plantains. On fait avec tous ça, des plats excellents. Cette cuisine simple des 'comedores' est, en dehors du Mofongo, ce qui se mange de mieux tous les jours. Il faut quand même faire un peu attention au choix du lieu.
Sinon, il y a foison de restaurants italiens.
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