En direct de là où je suis. Un jour, une photo depuis mon retour de Santo Domingo

jeudi 27 mars 2008

Des manguiers dans la ville


Depuis que j'ai lu l'excellent livre de David Servant-Schreiber, Anticancer, je fais comme qui dirait, une fixation sur ce que je mange. En dehors du fait que vu mon passé, je me sente passablement concerné, j'y trouve un équilibre certain. Effet placébo ou pas, il y a plein d'arguments qui plaident en faveur d'un recentrage diététique. Il est intéressant d'avoir le point de vue d'un scientifique sur des notions qui étaient soit 'new age', soit back to Larsac. Bref, des effets de mode un peu désuets. Les écrits de DSS sont convaincants parce qu'ils donnent un éclairage qui parle : des pistes scientifiques pour des données épidémiologiques.
Effet placébo ?
En tout cas, supprimer les cochonneries industrielles de son alimentation ne tue pas, ça fait même maigrir. Y'a qu'à m'voir...
Pour cela, la République Dominicaine, c'est tout l'un ou tout l'autre: entre les empañadas cuits dans de la graisse de je ne sais quoi et les sandwichs à n'importe quoi... Il y a les fruits des tropiques. C'est un vrai bonheur de s'acheter un cocktail de fruits, d'un volume conséquent, chaque matin pour 35 pesos (70Cts d'Euros) et de remplacer le petit déjeuner de beurre et crêpe par ces morceaux de soleil murs à point. Il y a beaucoup de vendeurs de fruits en triporteur dans les rues de Santo Domingo. C'est un business qui marche.
Si à Séville poussent des orangers, à Santo Domingo poussent des manguiers. Trouvez l'erreur dans la photo ci-dessus et vous gagnez ma considération éternelle.

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